• Les désirs assouvis

     

    Dans la clairière d'une forêt obscure,

    Sous la lune pâle, brille une figure pure.

    Des cuisses entrelacées, source de chaleur,

    Où les désirs s'épanouissent sans peur.

     

    Dans la nuit, les sens s'éveillent en envie,

    Cherchant dans chaque souffle une mélodie.

    Sur la colline, où la brise caresse,

    Les émotions s'élèvent, pleines d'ivresse.

     

    Le ruisseau murmure secrets et plaisirs,

    Tandis que les corps s'unissent, dévoués à s'offrir.

    Les baisers au cou, les étreintes tendres,

    Dans cet éden caché, où rien ne peut nous atteindre.

     

    Les caresses s'entremêlent, douces et sincères,

    Comme les feuilles qui dansent dans les airs.

    Dans cette nuit sans fin, nos âmes s'unissent,

    Explorant les recoins où nos désirs fleurissent.

     

    Les désirs assouvis


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  •  

    Les délices de l'envie.

     

    Dans la clairière, sous un ciel étoilé,

    Elle et lui se trouvent, complices.

    Leurs âmes en feu, leurs désirs brûlés,

    Pris dans l'élan des envies de délices.

     

    Ses doigts effleurent sa peau satinée,

    Caressant chaque parcelle avec ardeur,

    Des frissons parcourant son être enflammé,

    Dans cette danse charnelle, telle une lueur.

     

    Il explore le contour de ses cuisses,

    Un voyage lent, empreint de désir,

    Son souffle chaud effleurant sa peau lisse,

    Dans cet instant magique, où tout peut surgir.

     

    Leurs regards se croisent, leurs corps s'entrelacent,

    Sous les étoiles complices, en émoi,

    Chaque baiser, chaque étreinte, une audace,

    Dans cette étreinte enflammée, où ils se noient.

     

    Son cou offert, une invitation ardente,

    À ses lèvres, il dépose un doux baiser,

    Lui offrant son amour de manière insolente,

    Dans cette nuit, où tout semble s'embraser.

     

    Entre elle et lui, l'érotisme se révèle,

    Dans cette clairière, leur refuge secret,

    Où les sens s'éveillent, où tout s'envole,

    Dans un tourbillon de plaisirs, parfait.

     

    Les délices de l'envie.

     


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  •  

    Dans l'ombre douce d'une nuit étoilée, 

    Elise, ton prénom danse à mes côtés, 

    première fois, doux frisson de l'inconnu, 

    nos âmes éprises, liées, confondues nues.

     

    Ta peau, un parchemin d'ivresse et de désir, 

    où chaque toucher, chaque soupir, 

    trace des chemins inexplorés, secrets, 

    où nos corps se perdent, éperdument, en forêt.

     

    Nos regards se cherchent, se trouvent, se perdent, 

    comme deux étoiles dans l'univers, offertes, 

    le rythme de nos cœurs, une mélodie enfiévrée, 

    la symphonie de nos corps, une danse passionnée.

     

    Les caresses timides deviennent audacieuses, 

    le feu de la passion, brûlant, fiévreux, 

    la nuit devient une toile, nos souvenirs tissés, 

    dans cette première fois, où tout s'est réalisé.

     

    Elise, ton nom restera gravé en moi, 

    comme une étoile brillante dans la nuit, je crois, 

    première fois, douce et sensuelle, 

    où nos corps s'entrelacent, fusionnels.

     

    Le temps s'est suspendu, l'espace oublié, 

    dans cette étreinte, où nos désirs sont exaucés, 

    la première fois, un voyage, une découverte, 

    un amour naissant, une passion offerte.

     

    Dans l'obscurité complice, nous avons tout vécu, 

    et cette première fois, Elise, c'était avec toi, 

    un moment sacré, tendre et sensuel, 

    qui restera à jamais en moi, éternel.

     

    La première fois d' Elise.

     

     


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  • Elle et Lui.

     

    Au cœur de la campagne, le printemps déployait son tapis de fleurs et de couleurs. Les rayons dorés du soleil caressaient doucement la terre, réchauffant chaque brin d'herbe et chaque pétale qui s'épanouissait.

     

    Elle, jeune femme au teint de porcelaine et aux cheveux d'ébène, s'était aventurée dans ce pré en quête de solitude et de connexion avec la nature. Elle avait choisi une robe légère, couleur lavande, qui flottait autour d'elle à chaque pas. Ses yeux verts étaient comme des joyaux étincelants, reflétant la beauté de ce lieu.

     

    Au loin, elle entendit le doux murmure d'un ruisseau. Guidée par ce chant apaisant, elle se dirigea vers l'eau. À l'ombre d'un vieux saule pleureur, elle découvrit un homme, lui , allongé dans l'herbe, les yeux fermés, un sourire paisible sur le visage.

     

    Le regard d'Elle glissa le long du corps de Lui, appréciant chaque détail de sa silhouette. Il était fort et gracieux, comme un dieu grec dans ce cadre idyllique. Sa peau était dorée par le soleil, ses cheveux bruns ébouriffés par le vent printanier.

     

    Sans un mot, Elle s'agenouilla doucement à côté de lui, laissant sa main glisser sur son bras. Lui frémit légèrement sous son toucher, mais ne bougea pas, savourant la caresse. Les doigts d'Elle se faufilèrent dans les mèches de cheveux de Lui, effleurant sa peau, remontant doucement jusqu'à son visage.

     

    Leurs lèvres se rencontrèrent, fusionnant dans un baiser. Le temps semblait s'arrêter, ne laisser place qu'à l'intensité de leurs sensations. Les mains d'Elle parcouraient le corps de Lui,  explorant chaque courbe et chaque muscle avec désir et admiration.

     

    Ils se dévêtirent lentement, leurs peaux se frôlant et s'embrassant dans une danse sensuelle. L'herbe douce du pré est devenue leur lit d'amour, et ils s'unirent dans une étreinte passionnée. Les sons de la nature les enveloppaient, des oiseaux chantant au loin, le vent chuchotant à travers les arbres, le ruisseau coulant en harmonie avec leurs soupirs de plaisir.

     

    Le printemps les enveloppait de sa magie,  transformant leur amour en une symphonie de couleurs et de sensations. Ils étaient deux âmes fusionnant avec la nature, dans un élan d'amour et de passion.

     

    Le soleil, voyant leur étreinte sourire, alla se coucher lentement à l'horizon, laissant place à la lueur douce de la lune qui veilla sur leur amour naissant, dans ce pré, au cœur du printemps.

     

    Elle et Lui


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  • Sensuellement à toi

     

    Dans le silence de la nuit étoilée, 

    nos corps brûlent d'une passion dévoilée. 

    Dans l'ombre des draps, nos peaux se frôlent, 

    Lentement, nos désirs se dévoilent.

     

    Je caresse ta torse, tendre et soyeux, 

    un frisson parcourt ton être amoureux. 

    Mes doigts s'aventurent sur ton corps divin, 

    Effleurant chaque courbe avec une douceur sans fin.

     

    Tes lèvres embrassent les miennes ardentes, 

    Une danse langoureuse, enivrante.

     Nos souffles s'entremêlent, fiévreux, 

    Comme une symphonie de plaisirs voluptueux.

     

    Mes mains explorent tes zones les plus secrètes, 

    Tes soupirs résonnent comme une symphonie discrète. 

    Le désir grandiose, intense et brûlant, 

    Dans un élan d'amour, nous nous offrons mutuellement.

     

    Les étoiles, témoins de notre érotisme, 

    Scintillant, éblouies par notre lyrisme. 

    Dans cet instant d'extase et de délice, 

    Nous vogageons au pays de l'amour, complices.

     

    Et lorsque l'aube pointera son doux visage, 

    Nos souvenirs brûleront comme un feu de passage. 

    Mais l'écho de nos ébats restera inoublié, 

    Gravé dans nos cœurs, en doux émois effrénés.

     

    Ainsi s'achève notre danse sensuelle,

     Un poème érotique, une histoire charnelle. 

    À jamais indélébile, dans nos souvenirs, 

    Notre étreinte passionnée faite de plaisirs.

     

    Sensuellement à toi

     

     

     


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  • Plaisirs et rires

     

    Dans l'antre des désirs, entre rire et plaisir, 

    Un poème érotique, un peu taquin pour rire. 

    Laisse moi te conter, avec subtilité, 

    Une histoire coquine, et te faire frissonner.

     

    Il était une fois, un amant coquin, 

    Avec un esprit malicieux et malin,

    Il aimait taquiner, faire rire sa belle,

     l'inviter dans un monde du sensuel.

     

    Leurs ébats étaient joyeux, loin de tout sérieux, 

    Entre rires et baisers, ils se sentaient heureux. 

    Les caresses étaient folles, pleines de malice, 

    Comme un jeu érotique, sans la moindre injustice.

     

    Il lui susurrait à l'oreille des mots coquins, 

    Qui la faisait rire, vibrer de ses mains. 

    Leurs corps s'entremêlaient dans une danse folle, 

    comme un ballet sensuel où la passion s'affole.

     

    Ils s'amusaient sans tabous, sans complexes, 

    Leurs corps se cherchaient avec une ivresse.

     Dans ce tourbillon de plaisir, ils s'abandonnaient, 

    Unissant leurs corps et leurs âmes à jamais.

     

    Leurs rires s'entremêlaient aux soupirs érotiques, 

    Une symphonie de plaisirs, un chant orgasmique. 

    Ils découvraient les secrets de leur complicité, 

    Dans cette alchimie d'amour et de légèreté.

     

    Ainsi, dans ce poème érotique et humoristique, 

    J'ai tenté de tisser une toile fantastique. 

    Pour vous faire sourire et frémir de plaisir, 

    Car l'amour et le rire sont des plaisirs à saisir.

     

    Que cette histoire coquine, légère et malicieuse, 

    Vous transporte dans un monde peu sérieux. 

    Laissez vous aller à l'érotisme enjoué, 

    Et vivez chaque instant avec volupté.

     

     

     


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  • Fauvette, chante pour moi

     

    Petite fauvette si mutine,

    tu trompes bien mon ennui

    avec ton zinzinulement

    à mes oreilles si charmant.

     

    Reste là, je ne suis pas ton ennemi,

    regarde, tu vois, je te souris.

    chante encore ton ultime offrande

    tu sais j'en suis si friande.

     

    Je sombre dans le tunnel du sommeil,

    accompagne moi et sur moi, veille.

    Je n'ai point de limite à t'écouter

    petite fauvette jolie comme une pensée.

     

    Ma lente somnolence tu enchantes.

    Zinzinule encore fauvette, allez chante.

    Chante encore quelques minutes

    pour que douce soit ma chute.

     

    Laisse en moi pleurer ton chant,

    j'en veux encore de ta sève.

    Emporte moi dans ton temps

    Voilà encore que j'en rêve.

     

    Qui est cette fauvette?

     

     


  • Le rêve du Mac.

     

    Le rêve du Mac

    La nana polonaise en était tombé dans les pommes de la torgnole 

    que venait de lui  mettre en plein poire, le barbu ! 

    Fallait pas qu'elle touche à son grisby, 

    la piétineuse des boulevards du soir ! 

    Tonton maquereau rigole pas avec son magot ! 

    Il le planque dans des boites de puzzles, 

    bien à l'abri ,mais la nana l'avait vu ! 

    Le mac de la polonaise avait un rêve !! 

    Rejoindre "" les marins"" de Montauban !! 

    Son clan qui préparait là,tous leurs coups de trafalgar, 

    dans ce bar acheté pour couverture !!

     D'ailleurs toutes ses piétineuses de trottoir 

    ne bossaient que pour ça ! Leurs rêves à elles, 

    il s'en fichait comme de sa première guenille ! 

    Le mac faisait aussi dans le recel et autres magouilles ! 

    Pauvre tonton frappeur qui ne savait pas 

    que la polonaise était une flic infiltrée !!

    Ghis

     

     

     


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  •  

    Petits mots laissés de ci, de là, charmants et sensuels parfois,

    me laissent troublée dans mon intimité qui déjà s’y croit..

    Elle palpite et s’ouvre, comme pour sa floraison subite,

    elle se mouille les lèvres, se trémousse la pépite..

    Petits mots, illusions, qu’on attends, sur l’écran magique

    pour réveiller ses sens que l’on croyait devenus utopiques..

    Le folle étreinte de rêve, de mots se nourrit et succombe..

    L’intrusion phallique embrase mon cerveau de palombe !!

    Petits mots laissés de ci, de là, ravigotent mon vénus agité

    Mais non, elle n’est pas morte ma vieille  Intimité…

    Dis moi encore des mots sensuels, dis moi des illusions

    pour que revive mon corps de ses pulsions… 


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  •  


     

     

    Sous le soleil éclatant de ce nouveau printemps,
    elle fut tentée, telle une enfant,

    de sécher le bureau, en contretemps,
    le temps de quelques instants de
    contemplations contemporaines au musée des arts..

    Optant pour l’entente et pour éviter les tempêtes, elle se remit à lire

    ses dossiers, luttant, autant que possible

    contre son envie de plaisirs intemporels…

    Pensive, déjà, elle se dit qu’à seize heures tapantes,
    elle irait rejoindre son tendre Angelo, toujours content,
    toujours partant pour des moments de plaisir..

    Il avait un talent fou son Amour
    de Gitan pour trouver le temps de la contenter..
    Il était si excitant quand son corps, tendu sur le sien, la chevauchait comme un chevalier d’ antan, montant son étalon,
    lors d’une bataille de titans,
    pour sauver le temples des hommes d’armures…

    Elle entend encore ses gémissements et se dit que pendant longtemps,
    elle allait goûter aux larmes de sueur, tandis que de ses mains,
    il tendait les rênes de son plaisir pour mieux l’assouvir, et la conduire
    à la potence de l’amour…

    Dans ses bras, elle devenait sa mutante, sa chose exaltante…
    Le temps de son abandon rêveur, l’heure avait passée quand elle s’aperçut que son patron la regardait fixement..

    Elle sentit alors les effluves de son parfum entêtant et vit le regard insistant…

    “” votre Tante est dans mon bureau Marianne !!
    J’attends toujours le dossier “”
    dit il, tempêtant contre sa rêvasserie…

    Haletante , elle se redressa, encore bien émoustillée de ses
    pensées assez cabotines, elle souffla ;

    “Oui oui Monsieur, je vous l’apporte de suite..”””

     

    La reveuse

     

    Ghislaine@G. 

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  •  

    Viens ma jolie

     

    Viens ma jolie rebelle, viens que je te dévergonde,

    que je compte des doigts les mèches frisées de ton gazon soyeux.

     J' explorerai ta petite pâquerette merveilleuse...

    Viens dans le pré, tu sais là où les épis de blé se dressent

    fièrement,  autour de ton corps nu,  voluptueux..

    Je caresserai tes cheveux enfouis dans l'herbe...

    Et la rosée du matin, laissera sur tes seins,  des bottes

    de pluies étincelantes, que je goûterai de mes lèvres expertes..

    Viens ma belle rebelle,

    viens que je te dévergondes,

    Viens, que de ma cravache, je t'offre une fantaisie de caresses..

    Viens, viens, elles sont de celles qui ne s'oublient pas...

    Viens , viens et soies à moi.

     

    Ghislaine@.G.

     


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  • Yvonne se la donne !!

     

    Bonjour mois de mars, je suis la jolie poissonne,

    Je m'appelle belle Yvonne et je suis mignonne !

    Parfois je suis une friponne mais jamais poltronne !

    Je fais ma cochonne et tout en moi, frisonne,

    ça t'étonne hein ? Oui je sais, je suis une polissonne !

    Mes amants je les sélectionne,mais jamais ne me raisonne !

    Je tatillonne, je tâtonne, je tourbillonne et je le tamponne !

    Quand je sillonne,en mode dragonne,la belle mer sauvageonne,

    je visionne le galant et tout en moi s'émulsionne, je rayonne...

    J'imagine des tonnes d'alevins, frétillants qui se bidonnent..

    Ensuite je repars en déconne,à la rempoissonne,faire l'espionne,

    qui harponne à tout va les coquins, comme une vorace gloutonne !

    Bonjour mois de Mars, je suis la belle poissonne

    de la Garonne qui, de désir, jamais ne se rationne..

     

    Yvonne se la donne .

     

    Ghislaine@.G. 


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  • Sexy Bricole 

    Sexy Bricole

     Lors des courses hier, elle avait repéré un nouvel artisan qui

     

    venait de s'installer en ville !! "" Tous Services '' qu'elle s'appelle

     

    sa boutique..Bon ok lance toi se dit elle ! Le tout est de ne pas trop

     

    raquer... Les nerfs en pelote, elle prends RV et , dans une heure

     

    tout sera fait lui assure le plombier..

     

     

    Une heure, le temps de se reposer un peu et se calmer..

     

    Mais le tonnerre qui gronde au loin n'est pas pour l'apaiser..

     

    Les oiseaux en face sa fenêtre s'enfuient des branches,

     

    dans la folie d'une précipitation apeurée...

     

     

    Le coup de sonnette la fait quitter ds yeux l'abeille qui se protégeait

     

    sur la vitre de bois vernis... Elle ouvre la porte et !!!!

     

    Admiration !!!! Apollon est là, devant elle !!!

     

    Sexy, dans sa salopette caramel, à croquer le plombier !!

     

    Il sort des outils de sa mallette à surprises....

     

    Son teint chocolat brille de gouttes de pluie et ses yeux de geai- velours

     

    étincellent , contrastant avec des dents blanches lumineuses...

     

    Les coutures de sa tenue laisse entrevoir un fessier charnu et rond...

     

    Elle craque sous ce plaisir à l'état pur..

     

     

    Le dieu Amour est là, à genoux devant elle..

     

    Il accepte un café et elle s'empresse de prendre les tasses au dessus de lui

     

    sa jolie mini jupette laissant découvrir ses belles jambes, qu'il ne fait

     

    pas semblant d'ignorer, non non , il la regarde et sourit..

     

    Après tout , sa boutique, elle s'appelle

     

     

    "" Tous Services "" non ???

     

    Sexy Bricole

     

     

    Ghislaine@G.

     


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  •  

     La Danseuse du Désir

     

    Elle danse l’effrontée, dans une cadence de folie,

    comme possédée par la puissante musique.

    Ses yeux humides crient et son corps supplie,

    puisant le désir dans la danse frénétique.

    Il va sombrer avec elle, dans ce bar de nuit.

    Elle est l’étincelle qui se fait supplique…

    Elle danse, danse et et se cambre pour lui..

    Le regard s’attache aux hanches impudiques,

    pendant que les mains frôlent son envie..

    Des brindilles de feu dans l’antre phallique,

    il va sombrer avec elle, dans ce bar de nuit !!

    Le flot explose !!! En assauts analgésiques…..

     

     

     Ghislaine@.G.

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  •  

     Femme en attente.

    Il est posé là, à la terrasse, dégustant son café..
    Comme elle aimerait être ce petit café noir !!
    Comme elle aimerait, elle aussi, se faire déguster
    Qu'il lui enlève ce petit dessous noir..

    Qu'il se glisse entre ses jambes, la bouche gourmande,
    les mains caressantes sur ses cuisses bien offertes...
    Qu'il déguste aussi son petit bout de lande..
    Il est là, l'homme de son fantasme, la bouche ouverte..

    Il est viril, beau, puissant comme un homme encore vert,
    la cinquantaine assurée, la chemise déboutonnée,
    même pas conscient de l'attrait de sa chair....
    Je m'attarde sur ses cuisses fortes, galbées...

    Les images se font puissantes, indiscrètes, excitantes..  
    Il est presque en moi, lentement laisse à regret le bouton,
    Il effleure mon ventre, arrive sur mon cou en attente..
    Je frémis, je veux, je le veux, viens profond...

    Emoustillée je vibre un peu sur ma chaise, face à lui..
    Ses yeux se posent sur les miens, brillants de désir..
    Il me regarde, a t - il saisi ma tenace envie de lui ?
    Sa bouche s'entrouvre sur sa langue pour un sourire..

    Son instinct de mâle a senti mes phéromones, effervescentes...
    Mes rondeurs ont sur lui, un effet plaisant, je le ressens..
    Mes yeux se font sur lui bien plus dans l'exigence..
    L'instant est là, on se lève ensemble, avides des sens..

     

     Ghislaine@G.

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  • L'indécence...

     

    La bienséance commanderait- elle les sentiments que la hantent ?


    dans le désamour sexuel et le corps depuis longtemps en attente..


    L'homme jeune et vigoureux pourrait il devenir l'impur ?


    Serait - ce inconvenant de songer à ses bras et ses lèvres ?


    Aux longues caresses sans pudeur sur son corps en fièvre ?


    Serait - ce honteux d'y rêver, de sentir son odeur de sexe ?


    Son désir dans le regard, son envie comme un réflexe...


    Le corps veut, le corps supplie, rêve de l'inconvenance..


    Depuis quand faut il un age pour s'offrir l'impertinence ?


    Rêve t - il d'aimer ainsi ? Serait- ce obscène même d'y penser ?


    Serait- ce immoral, des plaisirs d'amour, vouloir encore goûter ?


    Le corps chaud de désir, d'envie, inassouvi longtemps,


    pleure de cette impudeur, et les doigts s'agitent, caressants.


    Le souffle court, elle l'imagine , l'affolant de ses assauts,


    pénétrant l'écrin de sa moiteur, lui offrant le cadeau !


    Depuis quand la distance  de l' âge d'écart devrait être défini ?


    Qui dit que c'est anormal ? Qui dit que cela est vilenie ? Qui ?


    Croire que le plaisir n'a pas d'âge ...Croire qu'à plus de soixante ans


    on peut se donner, on peut crier encore dans des bras de quarante ans..


    Est ce Inconvenant ?

    Ghislaine@.G.

     


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  • Hier encore j’étais une jeune vierge sage,

    Hier encore, je vivais dans un temps présent.

    Le chaos de l’explosion m’a laissé au mouillage..

    Je veux encore dans mes pensées le film,

    je ne veux pas cesser de m’y égarer..

    Encore, juste encore, refais moi le séisme..

    Encore , que je n’oublie pas tes baisers..

    Hier encore, j’étais dans un passé virtuel

    Je ne veux que la sève à laquelle tu me nourris,

    Et m’irradier de ta jouissance jusqu’à l’infini..

    Il semble que je soies devenue femme,

    femme de plaisirs, de caresses vécues.

    Il semble que j’aime gouter à ta flamme !

    Prends encore ma virginité, celle qui n’est plus

     

     

    Ghislaine@.G.

     


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  •  

      

    Fantasme,

    Elle venait de monter dans le bus, alors que Tony la regardait déjà à l’abri-bus..

    Elle dévoila sans le vouloir un bout de dentelle rose d’ou sortait une fesse charnue..

    Tony pensa que ce léger tissu devait cacher un secret humide dans un étui de délices..

    L’émotion le cueillant le rendit fébrile et devenait  visible à la pointe de son ventre..

    Son regard se posa sur ses genoux, ses cuisses découvertes, il n’allait plus pouvoir

    cacher son désir naissant qui enflait son pantalon très longtemps..

    Elle était comme un appel à l’amour,

    auquel il aurait aimé succomber, imaginant les caprices

    de caresses partagées ou le je deviendrait

    nous quand elle descendit à son arrêt…..

    Sa petit jupe plissée venait de se soulever et

    il avait aperçu le renflement du mont de vénus….

    Il aurait tant aimé la dévêtir de sa dentelle rose

    qui le séparait de l’imagination.…..

    Elle était loin quand il se sentit mouillé

    comme un collégien puceau et pressé…

     

    Ghislaine@G.


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  •  

    La volage

     

    Voilà que la volage Violette vient de se dévoiler

     

    et s’offre aux regards du voisin voyeur, en face.

     

    Sa vertu vaincue et vaine, prend vie sans voile

     

    lorsque valse son corps vallonné, vers le rapace !

     

     

    Elle virevolte, vivante et vivace, comme un vague

     

    qui vient vagir de veloutés remous verts et vaillants.

     

    Elle vampe le vicieux excité et gonflé de la dague..

     

    Violette, de verbage, n’a point besoin,elle vit de galants.

     

     

    Vernis vermillon au bout de ses mains vagabondes,

     

    elle vêt son corps de voluptueuses caresses versatiles.

     

    Vilaine tentatrice, victime consentante, presque immonde,

     

    Vénale et vengeresse d’un homme qui l’a laissée Futile. 

     

    Ghis.G.

     

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  • L'affamée du sexe avait la divertisseuse orgasmique


    qui lui chatouillait grave le bandant bouton magique..


    Fallait qu'elle se mette, au plus vite,  en chasse- nique


    Vite !!! courir le gigolo en quête d'un coup bénéfique !


    La grognasse jouasse s'en tripote déjà et s'astique


    le clito en érection, attendant la grosse trique !


    Qui lui fera sauter son bouton affamé et boulimique..


    Le croc- moule en vue, elle joue des cuisses la lubrique


    et s'offre,  à la braguette au micheton très anorexique,


    mais pas du tout du côté du gland qui est plutôt calorique !


    Sous le pont, la Seine écoute le cri du coit cosmique


    pendant que les badauds se la jouent dramatique..


    La jouisseuse reposée et comblée mais combien impudique,

     

    s'en va son chemin, pensant déjà au prochain gland lubrique..

     

     Ghislaine.@G.

     


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  • Le jour ou je devins femme.

    *****

    L‘assaut vigoureux de son corps

    contre le mien, les gémissement forts,

    le plaisir des caresses, cette petite mort

    que je vis, c’est l’apothéose musicale des accords..

    Ma bouche, telle un prisme jetant des ors,

    s’affole dans la rosée d’amour et mon sort,

    à jamais, va changer, grâce à ce trésor !

    Bonjour mon nouveau moi ! Mon encore !

     

    Au son des hautbois du transistor,

    Il fait de moi une femme au bord

    de la jouissance, inconnue jusqu’ alors !

    Le mystère est divin, ce plaisir;  j’adore !!

    Sur le parchemin de ma vie , en lettres d’or

    j’écrierai ton nom, mon amant, mon picador,

    Telle l’escargot avec ses antennes en renfort,

    je referai avec toi, de charnels corps à corps !

    merci mon dieu

     

     Ghislaine@G.


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  • Elle est seule, la rivière  la berce de ses clapotis,
    légère vêtue, accolée à l'écorce du chêne, elle lit..
    Son autre main glisse en caresse, sur l'entrejambe,
    sa jolie jupette d'été florale s'est retroussée..


    Le désir s'empare d'elle, gagne son endroit chaud,
    Non, pas ici, se dit elle, mais la caresse se fait chaos..
    Les jambes s'ouvrent à la nature et sa main experte,
    s'empare de son petit bouton, gonflé, en alerte..

    Il se croit seul au bord de la rivière, à peine plus loin,
    quand il entend des gémissements qui viennent du recoin,
    Il s'approche doucement, la voit soudain, si excitée,
    qu'il à envie de lui donner ce qu'elle désire, se faire aimer..

     

    Toute à son excitation, elle ne l'entends pas derrière elle,
    et quand , sa main, il plonge entre ses cuisses, la demoiselle
    Crie un oui des plus encourageants et le désir le gagne aussi..
    Sa dentelle rejoint l'herbe , il ne font plus qu'un, elle et lui..

     

    La passion les as emporté, la passion d'un besoin sexuel,
    Le plaisir venu et le désir retombé, l'instant irréel,
    fait place à un sentiment honteux, le rouge aux joues..
    Il lui prends la main, la caresse d'un geste doux...

     

    Ghislaine.@G.

     

    Désir et Solitude.

     

     


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  • Femme je suis, femme d'envie, femme de désir,
    Femme de besoins charnels, besoin de s'offrir..
    Elle se languit, se lamente et s'étiole sans orgasme,
    Le temps passe, pas ses envies et c'est la marasme !


    Plaisir solitaire n'a qu'un temps en manque de chair..
    Femme aux besoins de caresses, s'efforce de plaire..
    Le temps passe, pas ses envies, le besoin devient fort,
    et les songes se font fantasmes dans son château-fort,

     

    Elle y cache ses secrets, parmi les rêves inassouvis,
    parmi ses désirs indésirables, sans vie la nuit !
    Le corps en indigence, elle est en privation...
    Femme d'envies, devient source de tentation..

    Femme de plaisirs, veut, ce cadeau, se faire offrir,
    Plaisir de sexe n'est pas plaisir d'amour mais désir !
    Femme aux pulsions dissimulées, se veut combler.
    Encore un peu, elle veut jouir de se faire aimer !!

     

     Ghislaine@.G

     


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  •  

    La coquette

    La coquette...

     

     

    C'est pas le moment de faire chauffer minette !

    Fais plutôt des galipettes de mots ma poulette.

    Mais j'en étais toute chose, en émoi des gambettes,

    le corps tremblant et le coeur sur la carpette !!!

    Les clients s'en moquaient, ils faisaient leurs emplettes,

    pendant que je m'imaginais déjà en levrette !!

    Vain diou !! Quand j'vais raconter ça à Laurette,

    elle va se dire, la v'la qui part en sucette , la poète,

    prête à se damner, elle guêtte une belle nuisette !

    Elle, si sage et prête à porter cornette !!

    Gentillette comme tout, ne faisant pas de boulette !

    Moi Gigi, me v'la toute chamboulée de la facette,

    comme une grosse vachette en quête de la moquette !!

    J'chais plus où j'suis, j'chuis une girouette !!

    Vite mon gri-gri, que j' hoquette ,vite mon amulette !!

    Conjurer le sort et me trouver une cachette ,

    pour abriter dans ma fermette , mes liquettes !!

    Me faire sur la tête, des jolies frisettes;

    Me mettre en vedette pour ce mec trop chouette,

    qui pousse si bien la chansonnette !!!

    et qui vient de m'inviter au Gliptothèque !!

     

    Ghislaine.@G.


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  •  Elle mouille ses lèvres avec sa langue,


    Rose et agile, elle va et vient,


    si désirable, attirante que je tangue,


    Elle suçote son doigt magicien,


    que j'imagine aller découvrir mon horizon..


    Elle est femme comme moi et m'enflamme,


    moi l'hétéro pure , offerte à la passion,


    Moi qui n'ai touché que mes seins,


    sans rêver à d'autres pareils,


    voilà que j'envie de toucher les siens,


    Voilà qu'à la femme je m'éveille..

    Je la regarde, j'ai envie d'elle...


    Je détaille son corps pulpeux,


    qui m'émoustille les ailes..


    Je cherche un destin crapuleux,


    une caresse nouvelle et offerte..


    Un désir si fort qu'il me consume..


    Mon corps tremble comme la bête,


    qui d'amour hurle dans la brume..


    Je la regarde, d'elle j'ai tant envie..


    Je veux connaître son jardin secret..


    Je veux avec elle prendre nouvelle vie...


    Moi l'hétéro, cette femme je veux aimer...

    Moi l'hétéro.

    G@G


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