• Hier encore j’étais une jeune vierge sage,

    Hier encore, je vivais dans un temps présent.

    Le chaos de l’explosion m’a laissé au mouillage..

    Je veux encore dans mes pensées le film,

    je ne veux pas cesser de m’y égarer..

    Encore, juste encore, refais moi le séisme..

    Encore , que je n’oublie pas tes baisers..

    Hier encore, j’étais dans un passé virtuel

    Je ne veux que la sève à laquelle tu me nourris,

    Et m’irradier de ta jouissance jusqu’à l’infini..

    Il semble que je soies devenue femme,

    femme de plaisirs, de caresses vécues.

    Il semble que j’aime gouter à ta flamme !

    Prends encore ma virginité, celle qui n’est plus

     

     

    Ghislaine@.G.

     


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    Fantasme,

    Elle venait de monter dans le bus, alors que Tony la regardait déjà à l’abri-bus..

    Elle dévoila sans le vouloir un bout de dentelle rose d’ou sortait une fesse charnue..

    Tony pensa que ce léger tissu devait cacher un secret humide dans un étui de délices..

    L’émotion le cueillant le rendit fébrile et devenait  visible à la pointe de son ventre..

    Son regard se posa sur ses genoux, ses cuisses découvertes, il n’allait plus pouvoir

    cacher son désir naissant qui enflait son pantalon très longtemps..

    Elle était comme un appel à l’amour,

    auquel il aurait aimé succomber, imaginant les caprices

    de caresses partagées ou le je deviendrait

    nous quand elle descendit à son arrêt…..

    Sa petit jupe plissée venait de se soulever et

    il avait aperçu le renflement du mont de vénus….

    Il aurait tant aimé la dévêtir de sa dentelle rose

    qui le séparait de l’imagination.…..

    Elle était loin quand il se sentit mouillé

    comme un collégien puceau et pressé…

     

    Ghislaine@G.


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    La volage

     

    Voilà que la volage Violette vient de se dévoiler

     

    et s’offre aux regards du voisin voyeur, en face.

     

    Sa vertu vaincue et vaine, prend vie sans voile

     

    lorsque valse son corps vallonné, vers le rapace !

     

     

    Elle virevolte, vivante et vivace, comme un vague

     

    qui vient vagir de veloutés remous verts et vaillants.

     

    Elle vampe le vicieux excité et gonflé de la dague..

     

    Violette, de verbage, n’a point besoin,elle vit de galants.

     

     

    Vernis vermillon au bout de ses mains vagabondes,

     

    elle vêt son corps de voluptueuses caresses versatiles.

     

    Vilaine tentatrice, victime consentante, presque immonde,

     

    Vénale et vengeresse d’un homme qui l’a laissée Futile. 

     

    Ghis.G.

     

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  • L'affamée du sexe avait la divertisseuse orgasmique


    qui lui chatouillait grave le bandant bouton magique..


    Fallait qu'elle se mette, au plus vite,  en chasse- nique


    Vite !!! courir le gigolo en quête d'un coup bénéfique !


    La grognasse jouasse s'en tripote déjà et s'astique


    le clito en érection, attendant la grosse trique !


    Qui lui fera sauter son bouton affamé et boulimique..


    Le croc- moule en vue, elle joue des cuisses la lubrique


    et s'offre,  à la braguette au micheton très anorexique,


    mais pas du tout du côté du gland qui est plutôt calorique !


    Sous le pont, la Seine écoute le cri du coit cosmique


    pendant que les badauds se la jouent dramatique..


    La jouisseuse reposée et comblée mais combien impudique,

     

    s'en va son chemin, pensant déjà au prochain gland lubrique..

     

     Ghislaine.@G.

     


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  • Le jour ou je devins femme.

    *****

    L‘assaut vigoureux de son corps

    contre le mien, les gémissement forts,

    le plaisir des caresses, cette petite mort

    que je vis, c’est l’apothéose musicale des accords..

    Ma bouche, telle un prisme jetant des ors,

    s’affole dans la rosée d’amour et mon sort,

    à jamais, va changer, grâce à ce trésor !

    Bonjour mon nouveau moi ! Mon encore !

     

    Au son des hautbois du transistor,

    Il fait de moi une femme au bord

    de la jouissance, inconnue jusqu’ alors !

    Le mystère est divin, ce plaisir;  j’adore !!

    Sur le parchemin de ma vie , en lettres d’or

    j’écrierai ton nom, mon amant, mon picador,

    Telle l’escargot avec ses antennes en renfort,

    je referai avec toi, de charnels corps à corps !

    merci mon dieu

     

     Ghislaine@G.


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