-
Feu, quand tu nous tiens..
Ses vêtements vont rejoindre le bout de dentelle..
Le voila aussi excité que son organe de mâle,
tendu vers une croupe attirante telle une pucelle,
qui découvre la jouissance qui crie et qui râle !
Il entre dans cette croupe chaude et amoureuse
qui se cambre un peu plus à la rencontre sexuelle.
Ils ne sont plus qu’un seul corps, la machine sensuelle
fait d’eux des acteurs dévêtus comme Caligula heureux !
Les assauts de l’amant attiré dans un étui étanche
à la toison humide où se reflètent les rosées de l’amour nu.
Il crie, les mains agrippant les hanches blanches.
L’organe a pleuré dans son antre, des larmes absolues..
Couchés, abattus dans la couche des ébats chauds
Délestés du poids de l’acte des amours matinales,doucement,
Ils se touchent, sans dire un mot…
Lovés l’un contre l’autre,tandis que se réveille le mâle..
Ghislaine.@G.
1 commentaire -
Ah les petits mots secrets qui font vibrer,
ces mots déposés pour le cœur,
l’émoi qui éveille déjà les pensées,
qui se bousculent dans la chaleur
montante du désir, à la lecture
excitante des lignes ..Je les bois
et m’offre en pâture
déjà soumise à sa loi.
J’ attends j’ épie, je cherche et je guette,
Son petit mot, une tendresse, un baiser…
J’attends la moindre de ses requêtes,
pour lui écrire et virtuellement le caresser…
Ah ces petits mots secrets
me font vibrer,
et d’un plaisir solitaire
je dois me satisfaire,
pour calmer les ardeurs
de toute ma moiteur……
Ghislaine.G
votre commentaire -
Diantre , voilà que la douce-amère
violence se joue de décence avouée
dans ma décadence qui s’exagère.
Mes doigts maitrisent le chapeau rosé,
l’ombre sensuelle chuchote à ma toison !
Mise à l’évidence en perles humides
sur les draps jaunes de la belle saison..
Adieu léthargie, bonjour nuits torrides !
Ma décadence, la solution à ma passion,
m’offre nue aux décors de mes turpitudes..
“”Honni soit qui mal y pense”” vous dis-je,
que de mon antre si excité encore, je veux
croire à l’accueil délicieux et peu sage,
d’un corps fait de plaisirs si merveilleux…
Ghislaine.@G.
votre commentaire -
Eux
Leurs yeux se regardent, se lancent des flammes,
Ses doigts touchent le corps, le caresse..
L’océan du désir envahit la femme
quand elle voit monter le feu de sa hardiesse..
Lui
Attendre encore avant l’assaut tant espéré,
battre le temps, se faire désirer à nouveau.
Ne pas laisser encore le désir s’effacer,
laisser s’ouvrir l’écrin mouillé si beau..
Elle
Le pouvoir d’antan n’a plus de prise,
elle le prend, elle le sait, il est à elle !!
Elle se veut sans retenue, offerte et soumise
à l’injuste attente du plaisir charnel..
Ghislaine.@G
votre commentaire -
-
Tu veux entrer en moi comme dans un dans un livre ouvert ?
Tu veux partager ma couche sans avoir à faire le lit ?
Comme ça, comme on entre dans un champs désert..
Mais à qui donc crois tu parler bel étalon abruti ?Ta fougue et ton assurance ne me feront pas succomber..
Il me faut bien plus qu' un beau corps d'homme sexy,
Il me faut bien plus encore si tu veux me charmer..
Sers toi de ta tête et pas de celle qui se dresse ici...Tu veux me troubler, avec moi, t'envoyer en l'air ?
Ecris moi des messages plein de sensation,
Parle moi de choses inconnues, extraordinaires.
Envoûte moi de ton intelligence, avec émotion...Si tu veux que de mes mains expertes, je te touche
si tu veux mon chemin d'offrande, soies intelligent
et tu palpiteras de sensualité sous ma bouche...
Fais moi découvrir l' homme que tu es vraiment...Ghislaine.@G.
votre commentaire -
Le voilà qui glousse comme un dindon en solitaire..
Il regarde la belle blondasse, se dévêtir, fasciné..
Il prend de la hauteur, s'étire comme un patère..
Elle n'a pas dit non à sa drague tant il a imploré.
Têtu comme une mule, caché dans l'arbre ce soir,
revenant de la kermesse, cahin-caha , il l' épie,
pendant que nue dans le jour qui se teint de noir,
elle s'offre à des caresses dont elle jouit..
Son corps, c'est comme un menu de gastronomie,
qu'une lanterne douce éclairerait d'astuces..
Résoudre l'énigme , après le temps de l'oubli,
et qu'il plonge dans les démons de ses délices.
Le désir s'empare de lui, frénétique il s'agite,
Son fantasme vivant le mène à l 'explosion finale
tandis que la lumière s'éteint chez la belle Edith,
Demain, demain, il osera , demain, il sera son mâle...
G.G
1 commentaire -
Ulrich
°°°°°°°°°°
Ulric joue de la taloche en semaine, en salopette
C'est un drôle de zèbre qui aime le xérès andalou.
Ulric fait du yoga le soir , seul, sur sa couette,
il invente des devinettes pour séduire Marylou.Habillé sexy, il est sur le quai , attends le wagon,
où se trouve Marylou, la femme d'amour, son trésor .
En sa présence, il est fou, il s'excite, vibre à l'unisson
de son bonjour ,de ses baisers , avides de son corps..Sur la route sinueuse, il la conduit vers le plaisir ,
vers la victoire des attentes, récompensées de désirs.
Ciao, les orgasmes solitaires, ce soir, Ulric délire..
Ce soir, il ne joue pas de la taloche, Ce soir, il assure.G.G
votre commentaire -
°°°°♥ Plaisir des yeux ♥°°°°
Vêtue d'une jupe noire fendue sur les côtés,
elle laisse entrevoir une cuisse pleine et longue,
couverte d'un bas qui se révèle lorsqu'elle se penche
pour essayer les escarpins rouges à talons aiguilles..
Son chemisier, entre-ouvert sur sa gorge, dévoile
des seins ornés d'une dentelle rouge et noire..
Elle se lève, chaussée des nouveaux talons hauts,
devant la glace se regarde, les jambes, les pieds..
Ses fesses charnues lui font une chute de reins
sensuelle, où, l'inconnu, aimerait poser ses mains..°°°°
Il vit son fantasme, regarde les jambes, les bas.
Il ne sait pas l'inconnu que son porte-jarretelles
rouge et noir, couvre à peine un string fin et noir.
Il ne sait pas que sur sa peau bronzée, des bas
sont attachés sur les cuisses , des bas nylon..
qui reflète la lumière, lorsque , venu ,le soir,
elle fait glisser sa jupe, pour se déshabiller.
L'inconnu est bouleversé par la vision du nylon.
L'instant l'excite, telle une image subliminale.
Il est comme dans un rêve, au pays du plaisir.°°°°°°°
Soudain, devant la glace, elle a capté son regard
posé avec avidité sur ses cuisses, sur ses bas..
La voilà qui s'assied, pose une jambe sur l'autre..
Elle se masse le pied langoureusement, avec sensualité.
Les jambes ouvertes, les bas sont enfin là, si près,
Si près qu'il les touche des yeux, les caressent des yeux.
Il voudrait les frôler doucement, remonter doucement,
là où sa moiteur offre son écrin fait de bonheur.
Du coin de l'oeil, elle l'observe excitée elle aussi,
par les pauses lascives qu'elle lui offre..°°°°°
Elle aime être regardée, elle aime être convoitée,
Elle sait qu'elle donne à l'inconnu ce qu'il aime aussi,
Elle sait que l'inconnu à le sexe en feu et tendu..
Elle imagine, doucement se défaire d'un bas,
prendre son pénis et avec son bas, le frôler ...
Délicieuses pensées qui envahissent son corps..
Elle referment alors ses jambes, remet ses chaussures
et d'une démarche affolante, elle va à la caisse ..
Le regard brillant, passant à côté de l'inconnu,
elle lui tend une carte avec son numéro..
°°°°°Ira t-il ?.....Osera t-il ??
Le plaisir des yeux est -il plus important pour lui
que les plaisirs de la chair ...?Ghislaine.@G.
4 commentaires
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires